J’ai moulé mon pénis (et c’était franchement plus fun que je pensais)

Bon, on va mettre ça au clair tout de suite : oui, j’ai fait un moule de mon pénis. Et non, ce n’était pas (juste) pour flatter mon ego. C’était un mélange d’envie de rigoler un peu, de trip à essayer en couple, et aussi – soyons honnêtes – de curiosité scientifique.
Le produit que j’ai utilisé, c’est le fameux Clone-A-Willy. C’est un kit qui te permet de faire une copie fidèle de ton engin, en silicone, et qui vibre si tu veux pousser le délire encore plus loin.
Alors, comment ça marche ? Voici le résumé non-censuré de l’expérience.
1. Préparation mentale (et technique)
Première chose : il faut être prêt. Et je ne parle pas juste de ton niveau de bandaison. Ce n’est pas une affaire que tu improvises entre deux épisodes de série. Le timing est important, parce que le moule prend sa forme pendant une érection, et tu as genre 60 secondes pour couler le tout une fois le mélange prêt. Pas plus.
Petit conseil : fais ça avec quelqu’un en qui t’as confiance. Moi, ma blonde m’a aidé et on a fini par en rire pas mal. Mais si tu préfères le faire solo, assure-toi d’avoir tout ton matériel prêt et à portée de main.
2. Mélange de l’alginate (le moule)
Tu vas mélanger de l’eau avec une poudre spéciale (de l’alginate, comme chez le dentiste) dans un cylindre fourni. Le mélange devient rapidement une pâte un peu gluante. À ce moment-là, faut pas niaiser : tu te tiens bien raide (littéralement), tu places ton pénis dans le cylindre, et tu restes immobile pendant environ une minute.
C’est un peu awkward, oui. Tu penses à rien d’autre qu’à ne pas perdre ton érection (et à ne pas éclater de rire si t’es pas seul). Mais franchement, ça passe vite.
Quand l’alginate durcit, tu retires doucement ton pénis. Ce que tu laisses derrière toi, c’est une empreinte 3D ultra détaillée de ta virilité. Félicitations, t’es maintenant officiellement une œuvre d’art.
3. Coulage du silicone
Une fois que ton moule est prêt, tu mélanges le silicone fourni dans le kit. Ça sent un peu bizarre, c’est collant, mais ça se fait bien. Tu verses ça dans le moule en faisant attention de ne pas faire de bulles d’air (tu peux tapoter un peu le cylindre sur la table).
Ensuite, tu laisses sécher. Ça prend environ 24 heures pour que le silicone durcisse complètement. L’attente est longue, mais le résultat vaut le coup.
4. Résultat final (et réaction de ma blonde)
Je ne te mentirai pas : j’étais un peu stressé en le démoulant. Mais pour vrai, c’était impressionnant. Genre, pas juste dans le sens "wow mon pénis est cool", mais dans le sens "c’est vraiment fidèle, genre avec les petites veines et tout". Et ma blonde ? Elle a trouvé ça drôle... puis sexy… puis pratique.
Et ouais, c’est devenu un jouet qu’on sort à l’occasion, surtout quand je ne suis pas là. C’est un peu bizarre au début de te voir toi-même en version silicone, mais après deux utilisations, ça devient juste un trip de plus à partager (ou à offrir).
En conclusion : est-ce que je recommande ?
100 % OUI. Si t’as envie d’un projet érotico-scientifique, ou d’un cadeau coquin (même pour toi-même), Clone-A-Willy, c’est un bon moment assuré. Prépare-toi à un peu de stress technique, mais aussi à pas mal de fous rires et un résultat franchement unique.
Et qui sait ? Peut-être qu’un jour, ta version silicone aura plus de succès que toi en vrai… 😅